Procès de Cédric Jubillar : « Je ne le voulais pas, mais je n’avais pas le choix », l’accusé s’explique sur le divorce avec Delphine

Face aux juges, l’homme s’explique enfin. Il dévoile les zones d’ombre, contradictions et vérités longtemps enfouies qui bousculent l’audience.

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Le procès de Cédric Jubillar continue de captiver le public. Ce vendredi, c’est l’accusé lui-même qui a pris la parole. Son ton était calme, presque détaché, mais ses mots ont eu du poids. On sentait chez lui un mélange d’amertume et de résignation. Cette fois, il n’était plus question de déni ou d’évitement : il a parlé du divorce, ce moment charnière où tout a commencé à se déliter.

Procès de Cédric Jubillar : quand tout bascule dans le couple

À la barre, il a évoqué les disputes, les cris et la lassitude. Puis, il a mis en avant cette phrase de Delphine : « J’en ai marre, je me barre. » C’est à ce moment-là qu’il a compris, dit-il, que leur histoire touchait à sa fin. Le procès de Cédric Jubillar revient sur ces mois de tension, entre désaccords, reproches et distance grandissante.

Il raconte qu’il a tenté de sauver les apparences, d’arrondir les angles. Mais Delphine avait déjà pris rendez-vous avec un avocat. Le divorce était lancé. « Elle m’a convaincu que je n’avais pas le choix », a-t-il dit, la voix posée, sans colère apparente. Ces mots ont résonné longtemps dans la salle, comme le reflet d’un homme dépassé par les événements.

Une acceptation sous contrainte

Face à la présidente, Cédric Jubillar a tenté d’expliquer son état d’esprit. Il ne voulait pas divorcer, mais il affirme avoir cédé par amour. « Je l’aimerai toujours, c’est la mère de mes enfants », a-t-il répété. Le procès de Cédric Jubillar montre un homme qui se dit prisonnier d’une séparation imposée, persuadé qu’il n’avait plus son mot à dire.

Les juges et les jurés l’écoutent, notent chaque détail. Derrière cette déclaration, certains perçoivent une sincérité troublante, d’autres un discours calculé. Tout dépend du regard qu’on porte sur lui. Ce procès est aussi celui des émotions : celles d’un mari, d’un père, d’un homme accusé de l’irréparable.

La tension monte à la cour d’assises

L’après-midi, le ton s’est durci. Les questions se sont faites plus précises, parfois piquantes. Les magistrats ont évoqué la vie du couple, les finances, les disputes, mais aussi la relation extraconjugale de Delphine. À chaque réponse, Cédric Jubillar semble marcher sur un fil. Il choisit ses mots, parfois après un long silence.

Le procès de Cédric Jubillar met aussi en lumière un homme sous surveillance, épiant les gestes de sa femme, redoutant sa fuite. Derrière ses phrases mesurées, la jalousie transparaît, même quand il prétend le contraire. Les proches décrivent un climat lourd, une tension permanente, un couple au bord de la rupture.

Un homme face à ses contradictions

Depuis le début, ce dossier fascine et divise. Certains voient un mari brisé par un divorce, d’autres un manipulateur qui tente encore de contrôler le récit. Le procès de Cédric Jubillar expose ces deux visages : celui de l’amoureux blessé et celui de l’homme soupçonné d’avoir franchi la ligne.

À la barre, il parle avec retenue, comme s’il cherchait à ne pas trahir ses émotions. Pourtant, chaque mot compte. Chaque détail est scruté, interprété, remis en cause. Ce procès ne se résume pas à des faits, mais à une histoire humaine, tragique et trouble. Et quelle que soit l’issue, une chose est sûre : la vérité, elle, ne sortira pas indemne de cette salle d’audience.

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