Le vol de bouteilles de gaz à Septèmes-les-Vallons accroche l’attention et réveille les curiosités. Les gendarmes des Bouches-du-Rhône tombent sur un stock inattendu. Une perquisition ouvre une porte sur un trafic discret. L’affaire intrigue et mérite qu’on regarde de près.
L’enquête qui remonte le fil
Tout part d’un supermarché ciblé par un larcin d’une dizaine de bonbonnes. La brigade de Bouc-Bel-Air recoupe les pistes et identifie un suspect. Les militaires localisent l’homme dans une commune voisine et passent à l’action. Le récit du vol de bouteilles de gaz à Septèmes-les-Vallons prend alors une autre dimension.
Les enquêteurs croisent vidéos, tickets et numéros de lot. Un planning de surveillance resserre l’étau autour des habitudes du voleur. Des témoignages confirment des allers et retours aux heures creuses. Une plaque repérée sur caméra oriente les patrouilles. Le téléphone saisi dévoile contacts, trajets et dépôts. Un utilitaire blanc sert au transport des charges.
Vol de bouteilles de gaz à Septèmes-les-Vallons
Le lundi 29 septembre, le suspect part en garde à vue. Les perquisitions mettent à jour les bouteilles dérobées, puis d’autres, bien cachées. Les enquêteurs empilent les preuves et dénombrent cent vingt-six bonbonnes saisies. Le vol de bouteilles de gaz à Septèmes-les-Vallons se transforme en découverte massive.
L’inventaire précise les marques, les formats et l’état des scellés. Le lieu de stockage ressemble à un entrepôt improvisé, serré et mal ventilé. Des garages et annexes servent de cache, entassés derrière des planches. Les bouteilles vides voisinent avec des pleines, malgré un risque évident. Un spécialiste de sécurité gaz évalue rapidement les dangers immédiats. Les équipes ventilent, neutralisent et déplacent le stock prudemment.
Le métal qui aiguise les convoitises
Le contenu n’intéresse pas le voleur, qui vise la pièce en laiton. Il découpe les bouteilles et revend la partie métallique au marché noir. Le laiton ne vaut pas le cuivre, mais tourne autour de quatre euros le kilo. Les filières de récupération attirent les convoitises et nourrissent le vol de bouteilles de gaz à Septèmes-les-Vallons. Un outillage simple suffit et réduit les coûts d’entrée du trafic.
La marge reste maigre, alors les quantités grimpent vite. Des fermetures rapides accélèrent la découpe et brouillent les traces. Le bruit passe inaperçu dans une zone d’activité. Des acheteurs peu scrupuleux paient en liquide, sans questions. Des contrôles renforcés chez les ferrailleurs resserrent toutefois ces débouchés. Le public ignore souvent les risques liés aux bonbonnes endommagées. Des campagnes locales rappellent les gestes de prudence et les numéros d’alerte.
Suites judiciaires et restitution
Le mis en cause est déféré au tribunal judiciaire d’Aix-en-Provence. La justice fixe un contrôle judiciaire et interdit tout achat ou vente de ferraille. Une audience attend l’homme, qui devra répondre de ses actes. Les propriétaires identifiés récupèrent leurs biens, et le vol de bouteilles de gaz à Septèmes-les-Vallons laisse une trace utile pour prévenir d’autres faits. Le parquet retient des faits de vol et de recel.
La procédure avance avec des vérifications techniques et financières. Une interdiction de contact protège témoins et personnels des enseignes. La traçabilité des lots facilite une restitution rapide et documentée. Les enseignes renforcent l’éclairage et les alarmes près des cages. Des fixations au sol compliquent les enlèvements improvisés. Des conseils simples aident aussi les clients particuliers. Un signalement rapide limite les pertes et accélère l’enquête.